Perpignan Ensemble avec Louis Aliot !


Louis Aliot répond aux mensonges et manipulations des intégristes catalanistes

FrontNatopnalPremierPartiPOCommuniqué de Louis Aliot
Louis AliotDéputé européen
Conseiller municipal et communautaire de Perpignan

« Réponses aux mensonges et manipulations des intégristes catalanistes »

Il y a une grande différence entre défenseurs de l’identité catalane et catalanistes intégristes.

Je ne pense pas que poser des panneaux « pays catalan » fasse avancer la cause de l’enracinement catalan, pas plus que de se mettre sous la bannière d’un parti politique catalano-espagnol, qui comme la girouette, s’oriente en fonction des vents…

Je suis français et catalan d’adoption, je n’ai pas à recevoir de leçons des professionnels de l’agitation catalane bien relayés par la presse locale. Seules les urnes sont souveraines !
Que ces personnes et mouvements se présentent aux élections sous leurs bannières propres, et qu’ils soient assez sincères pour défendre un projet autonomiste ou indépendantiste qu’une grande majorité de nos concitoyens refusent.

Pour moi, défendre l’identité est un projet de vie, de défense d’un patrimoine, de traditions multiséculaires, d’une culture aujourd’hui menacée par une immigration de masse d’origine extra-européenne, dans une nation qui malheureusement n’assimile plus.

Républicain, je défends l’unité et l’indivisibilité de la république française et ne me trompe pas de combat et de priorité. Les français de culture catalane ne préserveront leur identité propre que dans une France forte, et cette défense intelligente d’un enracinement riche et populaire contribuera à conforter notre identité nationale, face à une mondialisation marchande et financière hostile à toutes formes d’enracinement.

Catalans d’accord, mais Français d’abord !

FrontNationalDesPO_Adresse


Comment le maire peut-il ignorer ce fichier puisque son prédécesseur était très précis dans ses affirmations chiffrées ?

Comment le maire peut-il ignorer ce fichier puisque son prédécesseur était très précis dans ses affirmations chiffrées ?Communiqué de la liste «Perpignan Ensemble avec Louis Aliot»

Cet article du journal L’Indépendant du 23 juin 2005 prouve la réalité d’un fichier précis.

C’est une affirmation de l’ancien maire !

A moins de lire dans le « marc de café », l’autorité municipale se fondait bien sur quelque chose de précis pour affirmer cela !

Cliquez sur l’article archive ci-dessous

article l'independant 23 juin 2005


Conference de presse de Louis Aliot avec Pierre Clostermann

CONFÉRENCE DE PRESSE DE LOUIS ALIOT

J’ai l’honneur de vous inviter à une conférence de presse

Le mercredi 22 janvier 2014 à 11h00 en présence de :

Jacques CLOSTERMANN, Pilote de chasse sur Mirage III, Commandant de bord Air France sur B747 puis actuellement sur B777, Journaliste à l’AJPAE, association des journalistes professionnels de l’aéronautique et de l’espace.

Fils de Pierre CLOSTERMANN, Compagnon de la Libération

Soutien à la candidature de Louis Aliot à la Mairie de Perpignan

4 Boulevard Wilson – 66000 PERPIGNAN

Contact Presse : Xavier BAUDRY / 09.83.60.72.12.


Réponse aux allégations du sieur Pujol parues dans « La Clau »

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, tête de la liste « Perpignan Ensemble »

Interrogé par le blog Catalaniste « La Clau » http://www.la-clau.net/info/8690/jean-marc-pujol-le-maire-doit-gerer-la-securite-publique-8690, le maire alduyste désigné de Perpignan, vient de répondre à un certain nombre de questions qui ont le mérite de nous éclairer sur la personnalité du Maire et sur ses idées, ou plutôt sur son absence d’idées…

« Nous sommes complètement dépassés », cette affirmation recueillie au détour d’une phrase du maire de Perpignan a valeur de programme.

Comme son prédécesseur l’ancien trotskiste Alduy, dont il est un adepte, monsieur Pujol pratique l’amalgame et le mensonge lorsqu’il évoque le Front National.

Il nous faut donc répondre à ces attaques pour réinformer nos concitoyens :

« Après avoir combattu ce parti lors de six élections, en tant qu’homme de droite, j’en conclus que son seul but est de faire battre des gens de droite.»

Je rappellerai que c’est bel et bien monsieur Alduy et l’UMP qui ont appelé à nous faire battre dans le canton du Bas-Vernet et qui préfèrent la gauche aux patriotes à chaque second tour où nous affrontons un socialiste. Comme avec les Kosciusko-Morizet et consorts, comme à Hénin-Beaumont, l’UMP a appelé à faire battre le Front et à se joindre aux socialistes pour constituer un front dit « républicain ». Si la droite a échoué, elle le doit à ses reniements et à ses trahisons. On ne peut éternellement se faire élire sur des idées et une fois aux affaires ne tenir aucune des promesses ! Brignoles a sonné le glas de cette stratégie stupide. Les électeurs UMP ont compris et ne se laissent plus berner.

« Pour moi, il s’agit d’un parti populiste, c’est un aspect qui me gêne, car c’est un parti attrape-tout, qui attire des électeurs de gauche aux seconds tours. »

Je dirai que c’est plutôt rassurant et qu’en attirant à nous un électorat jusque là acquis à la gauche, nous incarnons une force ni de droite, ni de gauche essentiellement centrée sur les préoccupations de nos concitoyens. Si les électeurs ne font plus confiance ni aux uns, ni aux autres, c’est qu’ils ont été beaucoup trompés et qu’ils ne souhaitent plus l’être. A la grande différence de monsieur Pujol, le programme que nous mettrons en place à Perpignan sera tenu et dans les cas où beaucoup d’argent public sera engagé, les perpignanais seront consultés ! Le système Alduy que défend aujourd’hui monsieur Pujol doit être démantelé. Rigueur, transparence, démocratie seront les marqueurs de notre boussole municipale.

« Son programme ne peut conduire Perpignan et la France qu’à leur perte, mais il signale de vrais problèmes de société que les partis de gouvernement n’ont pas été capables de régler. »

La France est dans quel état ? Perpignan est dans quel état ? Comment un ancien 1er adjoint de Pujol, mis en place par Alduy et qui revendique cette proximité, peut-il être à ce point amnésique ? Notre ville est endettée, défigurée, instable, communautarisée, insécuritaire, pauvre. Notre ville est clientélisée, la démocratie réduite à sa plus simple expression et le règne du copinage visible à tous les étages. Comment le maire UMP-UDI peut-il encore donner des leçons ? Je crois sincèrement que dans sa tour d’ivoire, il est coupé des préoccupations populaires et qu’habitué au ronronnement en vase clos, il n’a pas pris la mesure des attentes de nos concitoyens.

Dès lors que la seule réponse donnée au Front National est l’anathème ou la stigmatisation, des personnes qui ne sont pas du tout FN croient entendre une solution à leurs préoccupations.

Anathème ? Stigmatisation ? De qui parle-t-il ? De Chirac et de ses odeurs ? De son ami Copé et de ses pains au chocolat ? L’anathème et la stigmatisation, ce sont nos compatriotes qui le vivent tous les jours dans la rue et qui sont abandonnés par les pouvoirs publics. De la bouche du maire, la sécurité relève de la Police nationale et c’est la faute à la « société » si la situation empire. Et bien nous ne pensons pas cela ; nous pensons que le maire dans sa commune a le devoir de contribuer au rétablissement de la sécurité par l’embauche de policiers supplémentaires et la réorganisation de celle-ci de jour comme de nuit, par une aide plus visible aux victimes et par une détermination sans faille. Ce n’est pas d’un maire mou dont nous avons besoin, mais d’un maire engagé et déterminé qui fera de la sécurité sa priorité n°1.

« Nous, les partis républicains, avons abandonné une partie de la population sur ces trois fondamentaux. »

Nous les « partis républicains » ? l’UMP, le PS, les Verts et les communistes ! Voilà  le système dans lequel se retrouve monsieur Pujol ! Mais en quoi serions nous moins républicains que vous monsieur le maire ? Est-ce nous qui avons transformé perpignan en système clientéliste et communautaire, contraire aux valeurs de laïcité et d’égalité des citoyens ? Est-ce nous qui gérons un certain nombre d’associations et de quartiers, voire d’embauches sur des critères ethniques ou religieux ? Que penser de fichiers existants à la mairie qui recensent les employés selon leurs origines ? Voilà où se trouve l’antirépublicanisme ! Voila quelle est la nature de votre république ! La notre est inscrite en toute lettre dans l’article 1– al1 de notre constitution : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. »

« Du reste, je connais de près la situation de Toulon après le passage du FN à la mairie, de 1996 à 2001 : ce parti qui nous voit comme un laboratoire a géré Toulon de façon catastrophique… »

Et bien parlons de Toulon, puisqu’elle fut gérée par l’un de vos anciens amis politique Maurice Arreckx, membre de l’UDF comme vous (le PR appartenait à l’UDF), surnommé « le parrain ». Ce grand « honnête homme », puisque c’est sur ce terrain que le maire de perpignan se place, a été reconnu coupable d’avoir reçu un pot de vin d’un million de francs et incarcéré aux Beaumettes en août 1994, il est en 1997 à nouveau condamné coupable d’avoir reçu quelque 2 millions de francs d’une filiale de la Générale des eaux contre l’attribution du chantier de la Maison des technologies de Toulon. Maurice Arreckx avait régné 35 ans sur Toulon avec des résultats catastrophiques !

Je ne voudrai pas réveiller de vieux fantômes locaux, mais faut-il que nous évoquions les condamnations du député UDF-PR Farran ?

La vérité sur Toulon est toute autre. Pendant la mandature 1995-2001 du Front National :

– L’endettement de la ville a été réduit de 27%, passant de 290 ME à 213 ME, alors qu’il avait augmenté de 69% sous la mandature précédente. C’est donc le FN qui a initialisé le désendettement de la ville. On peut noter d’ailleurs qu’en 2001 cet endettement était de 1146 Euros par habitant, soit inférieur à Nice (1228 E) et Marseille (1972 E) !

– Les taux communaux des impôts locaux à charge des ménages avaient baissé de 6% , ce qui a eu pour résultat une stabilité en valeur des impôts locaux qui avaient augmenté de 58% de 1988 à 1995.Cette modération fiscale instaurée par le FN de 1995 à 2001 a été suivie par une nouvelle hausse de 51% depuis l’arrivée de l’UMP M.Falco…

Malgré une politique d’économies et la suppression des subventions du Département et de la Région, de nombreuses réalisations ont vu le jour ou ont été lancées : Le Musée des arts asiatiques, Le Musée de la figurine, L’Ecole Saint –Louis, le théâtre Poquelin, Le Palais de la liberté, la Mairie annexe du Pont du Las, le Centre de loisirs du vallon du soleil. Une grande partie du tunnel Est/Ouest de Toulon a été a réalisée sous la municipalité FN et payé par la commune à hauteur de l’équivalent de 43 millions d’euros. Et, selon le rapport de la Chambre régionale des comptes de 2006 qui couvre la période, il n’y a eu aucune irrégularité de gestion, contrairement à ce que certains voudraient faire croire.

« Pour moi, la digue, ce sont les valeurs. Je suis le fils d’un courtier en vins qui s’est battu contre les nazis, avant de revenir à 22 ans, Grand Invalide de Guerre. Je veux parler des valeurs de tolérance, de respect de l’autre et de vérité. Or, le FN ment sur ces trois valeurs. »

Le maire nous vante ses origines et c’est tout à son honneur. Mais en quoi le FN ne respecte t-il pas ces valeurs ? A-t-il oublié qu’à Perpignan l’un de nos premiers leaders a été Pierre Sergent (dont la veuve Chouky est présente dans mon comité de soutien), officier de Légion, et résistant dans le maquis de Sologne avec le corps franc Liberté. Nous attendons d’ailleurs toujours une réponse à notre question sur une rue Pierre Sergent à Perpignan ?

Je tiens par ailleurs à sa disposition la liste de tous ceux qui de Georges Bidault au compagnon de la Libération Camaret se sont engagés contre le nazisme (http://enavantperpignan.com/2013/10/09/aujourdhui-comme-hier-la-resistance-cest-le-front-national/).

Tolérance, respect et vérité ? Qu’il se déplace dans certains quartiers de Perpignan et il verra ce que sont aujourd’hui la réalité de ces valeurs ! Insultes, violences, intimidations, haine de la France sont le lot de nos concitoyens !

Sur la Sécurité !

C’est le grand échec du couple Alduy-Pujol ! Tout comme la propreté d’ailleurs, ou sa seule réponse est la création d’une brigade féminine ( ?!)… Il constate la situation désastreuse en pointant son impuissance et en faisant reporter sur d’autres ses propres responsabilités.

Il s’en défausse en disant « Au fond, cette problématique est celle de la France d’aujourd’hui »…et constate « il faut avouer que les problèmes de sécurité sont mal traités par les gouvernements de droite ou de gauche, car la sécurité publique, je dis bien publique, devrait être la compétence du maire. » C’est donc bien sa responsabilité qui est engagée en tant que soutien du précédent gouvernement et en tant que maire actuel. Sa proposition de mettre les forces de police sous l’autorité du maire est contraire à notre tradition républicaine. Et remettre les clefs de la sécurité à une équipe qui n’est déjà pas capable de gérer notre quotidien serait désastreux !

Sur son soutien indéfectible à la politique Alduy !

Dixit le maire « Les grands équipements ont été construits à Perpignan, avec ma contribution du temps des mandats de Jean-Paul Alduy, moi-même en tant que chargé de l’Urbanisme et des Finances ». Pujol assume tout et même soutien l’ensemble ! Il ne prend pas ses distances et défend le Théâtre de l’Archipel, la gare TGV sans TGV et même la vision fantasmagorique de l’eldorado barcelonais ! N’était-ce d’ailleurs pas monsieur Pujol qui considère que l’aéroport naturel de Perpignan est…Gérone !!!

Nous étions habitué aux saillies de l’homme le plus à gauche du département et à son humanisme planétaire, serons-nous obligés de subir le mondialisme convaincu de monsieur Pujol qui pense que l’avenir de perpignan passe par Barcelone au mépris des évidences historiques et économiques. Nous reviendrons sur l’économie locale, l’un des grands enjeux de l’élection municipale…


Billet d’été n°2 de Louis Aliot…

Louis AliotRéponse à un billet stupide publié le 17 juillet 2013 dans le journal Libération par GUILLAUME BACHELAY Député de Seine-Maritime et STÉPHANE LE FOLL Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt (http://www.liberation.fr/politiques/2013/07/17/ayons-les-idees-claires-face-au-fn_919030)

Ayons les idées claires face au PS

A gauche, les élections législatives partielles, d’abord dans l’Oise et le Lot-et-Garonne, ont posé la question de la confrontation démocratique avec le Front national. La crise inquiète beaucoup les Français et le gouvernement socialiste est totalement impuissant à enrayer cette situation. En France comme ailleurs en Europe, les ménages populaires, les classes moyennes et les jeunes se demandent s’ils auront une place dans la mondialisation. Beaucoup redoutent d’être précarisés et relégués. Quant aux «affaires», leur instruction prouve que la gauche et la droite sont mouillées cumulativement ou alternativement et que si nul ne peut s’affranchir de la loi, beaucoup échappent encore à des condamnations définitives. Combattre le socialisme impose de démontrer comment les socialistes ruinent la France.

Pour gagner en crédibilité, la parole publique doit être une parole tenue : un an après l’alternance, les deux tiers des engagements présidentiels de François Hollande ne sont pas réalisés, même pas initiés. Les lieux de pouvoir doivent être des lieux de puissance face au cours des choses alors que les toutous socialistes administrent la France sous les ordres de puissances étrangères et antidémocratiques. C’est pourquoi les priorités du gouvernement et de la majorité ne sont ni l’emploi, ni l’éducation, ni le logement, ni la santé, ni la sécurité, ni la réorientation de l’Europe, ni la lutte contre les paradis fiscaux. Le clivage entre la gauche et la droite est devenu totalement invisible : investir dans la croissance et les infrastructures durables ou distribuer des cadeaux fiscaux aux privilégiés restent la règle ; laisser filer les déficits une marque de fabrique commune, communiquer sur un prétendu dialogue social une stratégie entre copains, bref les mêmes méthodes avec des majorités différentes. Reste que la lutte contre le PS suppose une stratégie pragmatique. Elle repose sur quatre piliers indissociables.

1) Le PS doit être caractérisé pour ce qu’il est : un parti social-libéral acquis aux dogmes de Bruxelles qui exacerbe les peurs et fabrique de l’exclusion. Ses dirigeants décrivent la France comme une bonne fille ouverte aux quatre vents de l’internationalisation des échanges et favorable à une immigration sans limite, prémisse d’une libanisation de notre société. Selon les circonstances, le PS trouve des boucs émissaires. Sa lutte contre les fachos n’est qu’une posture pour faire oublier ses propres turpitudes, son alliance avec les communistes aux 100 millions de morts, la francisque de Mitterrand, l’ami René Bousquet et les scandales financiers à répétition.  Ils jouent la carte de l’islam et de l’immigration contre la laïcité croyant remplacer une clientèle électorale de précaires, tous passés au Front avec armes et bagages, par un vote communautariste et confessionnel. Le PS présidé par un repris de justice Harlem Désir (une grande tradition) ne se distingue pas de celui que dirigeait Hollande ou Aubry. Tout ramène le Parti Socialiste à la collusion avec les extrêmes que représentant les verts ou les trotskystes dont beaucoup de cadres sont issus. Tout ramène le PS à ses vieux démons que sont l’incompétence, le clientélisme et l’aboiement !

2) La ligne nationale, patriote et républicaine doit rester notre mot d’ordre quand, lors d’un scrutin, un candidat de gauche copine avec le candidat de droite. Il ne s’agit pas de se battre seul contre tous, mais de coaliser les français contre ce système en faillite qui se débat pour préserver ses privilèges de caste !

Les électeurs socialistes, écologistes ou communistes ont compris la trahison socialiste qui consiste à crier au loup pour faire oublier un bilan désastreux. La droite est dans la même situation puisque entre Fillon et Copé il n’y a pas de différence de nature. En 2002, Jacques Chirac avait établi une digue entre le RPR et le FN. Dix ans de sarkozysme ministériel et présidentiel ont clairement démontré la collusion entre la droite et la gauche comme l’ont clairement les nominations de pontes socialistes tels que les Kouchner, Fadela Amara, Attali, Lang, Jouyet (l’ami de Hollande), Bockel, Frédéric Mitterrand, Hirsch ou Besson. En montant à l’échelle du perroquet socialiste et en soutenant la droite lorsqu’elle est exclue du premier tour, la gauche montre clairement sa mutation mondialiste et ultralibérale. Ce qui menace le PS ce n’est pas un déficit d’image ou d’idées, elle a les mêmes référence que la droite, c’est une pénurie d’électeurs devant la trahison des clercs.

3) Nous devons expliquer que le programme du PS conduit le pays à la faillite et aggrave la situation des Français qu’il prétendait vouloir protéger. Le maintien de l’euro fera éclater l’Europe au détriment de la France et des pays du Sud. L’agriculture française sera asphyxiée et paralysée par une concurrence déloyale. Selon le PS, l’euro devait réduire la dette publique, régler le problème du pouvoir d’achat, relancer l’emploi et la croissance. C’est tout le contraire qui se produit et les socialistes continuent droit dans le mur !

Outre la banqueroute économique qui nous guette, le projet du PS engendre des régressions sociales. L’école est aussi en faillite pendant que les policiers se font caillasser en pleine intervention comme récemment à Brétigny/Orge. La seule promesse tenue par les socialistes est le mariage pour tous, et la contestation populaire et salutaire qu’elle a engendrée. Merci la gauche, peuple ouvre enfin les yeux. Quant à la politique sociale elle est aujourd’hui l’apanage d’une immigration sans limite qui coûte de plus en plus à la collectivité et plombe les comptes sociaux de la nation. Le parti autoproclamé de la défense des pauvres et de la solidarité place le pays sous la domination du grand capitalisme et de l’argent-roi. Ardoises, divisions et corruption sont le bilan des gestions municipales PS dans le Nord comme dans le Sud : d’habitude prolixes, ses responsables éludent ces scandales qui pourtant sont aujourd’hui instruits par la justice.

4) Face à la menace que le PS fait peser sur la France, ses valeurs, son économie, son rayonnement, les patriotes doivent se rassembler. Dans l’action comme aux élections, c’est l’unité qui forge la dynamique. Nous partageons une commune aspiration à une France plus souveraine et plus prospère face à une Europe technocratique et totalitaire. C’est ce à quoi aspirent nos compatriotes et que combat la gauche par idéologie et par bêtise : pour eux et face à l’arrogance de la gauche, plus que jamais l’heure est à l’engagement.


Lancement de la permanence électorale de la liste Perpignan Ensemble avec Louis Aliot

Le samedi 1er juin 2013, Louis Aliot, vice-président du Front National et conseiller régional de Languedoc-Roussillon, a tenu une conférence de presse à Perpignan pour le lancement de la permanence électorale de la liste Perpignan Ensemble en présence de Gilbert Collard, député du Rassemblement Bleu Marine.