Perpignan Ensemble avec Louis Aliot !


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Lettre avec A/R envoyée à monsieur le Maire de Perpignan

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, candidat tête de la liste «Perpignan Ensemble» lors des élections municipales à Perpignan en 2014

Monsieur le Maire,

Comme vous le savez la ville de Perpignan connait de plus en plus de faits d’insécurité et d’incivilité qui minent la tranquillité publique et inquiètent beaucoup nos concitoyens.

J’ai lu attentivement vos réponses dans un récent entretien publié par un site internet local et je connais votre argumentaire sur cette question ayant pu participer à vos réunions spécifiquement consacrées à la sécurité.

Afin d’appréhender au mieux ce phénomène dans sa globalité, il est de notoriété publique que vous avez commandé un rapport sur l’insécurité à Perpignan, mission que vous avez confié à un personnage pour le moins obscur, qui anime d’ailleurs un blog politique assez confidentiel mais engagé, alternant la brosse à reluire pour vos amis et la mise en cause permanente pour vos concurrents.

En effet, sur les deniers publics et sur un sujet aussi délicat, le choix du spécialiste relevait d’une décision importante.

En conséquence, je m’interroge aujourd’hui sur les capacités de ce personnage à rédiger un tel rapport et sur ses compétences à appréhender ce type de sujet. Est-il un criminologue reconnu ? Est-il un spécialiste même local de la question ? Rien de tout cela !

Ce monsieur Fabrice THOMAS, puisqu’il se nomme ainsi, est un journaliste de profession, passé par de nombreux organes de presse, tantôt à gauche, tantôt à droite, et récemment condamné pour diffamation publique.

Je vous demande donc monsieur le Maire, en tant que contribuable et citoyen de la ville de Perpignan, de bien vouloir me communiquer le rapport en question ainsi que le montant des honoraires perçus par cet orfèvre de l’étude criminologique.

Sur un sujet aussi important, la mairie se doit de jouer une totale transparence.

Dans l’attente, je vous prie de croire Monsieur le Maire, à mes respectueuses salutations.


A Perpignan, tout semble bon, même sacrifier l’avenir, pour rembourser des dettes pharaoniques

A Perpignan, pour rembourser ses dettes pharaoniques, notre édile actuel réduit les investissements à la portion congrue.

Communiqué de Bruno Lemaire, professeur émérite HEC, colistier de « Perpignan ensemble avec Louis Aliot »

Nous avions déjà signalé les promesses non tenues du clan qui tient les rênes de Perpignan depuis plus d’un demi-siècle. C’est ainsi que dans une alliance parfois un peu contre-nature, le maire actuel et son adjoint aux finances – couple symétrique  de l’ancien maire et de son ancien adjoint aux finances – nous proposent dans leur budget initial, et ce depuis des années, des investissements culminant entre 138 et 157 millions d’euros, qui ne se montent plus, en définitive, qu’à la moitié de ces montants.

Il est vrai que les promesses, électorales ou budgétaires, ne semblent engager que ceux qui y croient : mais une telle différence mériterait à vrai dire de figurer, sinon dans le livre des records, du moins dans les compte rendus de la cour régionale des comptes.

Plus fort encore, si l’on peut dire. Une simple analyse permet de constater que les investissements ont connu une érosion certaine depuis 5 ans, si l’on ramène les dépenses correspondantes – les dépenses réalisées,  pas celles promises  en début d’exercice budgétaire –  au montant des dépenses de fonctionnement.

C’est ainsi qu’alors que les dépenses d’investissement représentaient près de 48% des dépenses de fonctionnement en 2008-2009, elles ne représentent plus qu’un très modeste 38% en 2012.  Si l’on ajoute à cette diminution tendancielle le fait que la municipalité actuelle s’enorgueillit d’avoir fait diminuer de quelques millions une dette qui reste pharaonique, on ne peut qu’être inquiet sur l’évolution de notre patrimoine. Les investissements étant censés être faits pour le futur, contrairement aux frais de fonctionnement, une telle diminution ne peut qu’inciter les perpignanais à s’interroger sur leur avenir, si l’équipe actuelle restait aux manettes six ans de plus.


Réponse aux allégations du sieur Pujol parues dans « La Clau »

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, tête de la liste « Perpignan Ensemble »

Interrogé par le blog Catalaniste « La Clau » http://www.la-clau.net/info/8690/jean-marc-pujol-le-maire-doit-gerer-la-securite-publique-8690, le maire alduyste désigné de Perpignan, vient de répondre à un certain nombre de questions qui ont le mérite de nous éclairer sur la personnalité du Maire et sur ses idées, ou plutôt sur son absence d’idées…

« Nous sommes complètement dépassés », cette affirmation recueillie au détour d’une phrase du maire de Perpignan a valeur de programme.

Comme son prédécesseur l’ancien trotskiste Alduy, dont il est un adepte, monsieur Pujol pratique l’amalgame et le mensonge lorsqu’il évoque le Front National.

Il nous faut donc répondre à ces attaques pour réinformer nos concitoyens :

« Après avoir combattu ce parti lors de six élections, en tant qu’homme de droite, j’en conclus que son seul but est de faire battre des gens de droite.»

Je rappellerai que c’est bel et bien monsieur Alduy et l’UMP qui ont appelé à nous faire battre dans le canton du Bas-Vernet et qui préfèrent la gauche aux patriotes à chaque second tour où nous affrontons un socialiste. Comme avec les Kosciusko-Morizet et consorts, comme à Hénin-Beaumont, l’UMP a appelé à faire battre le Front et à se joindre aux socialistes pour constituer un front dit « républicain ». Si la droite a échoué, elle le doit à ses reniements et à ses trahisons. On ne peut éternellement se faire élire sur des idées et une fois aux affaires ne tenir aucune des promesses ! Brignoles a sonné le glas de cette stratégie stupide. Les électeurs UMP ont compris et ne se laissent plus berner.

« Pour moi, il s’agit d’un parti populiste, c’est un aspect qui me gêne, car c’est un parti attrape-tout, qui attire des électeurs de gauche aux seconds tours. »

Je dirai que c’est plutôt rassurant et qu’en attirant à nous un électorat jusque là acquis à la gauche, nous incarnons une force ni de droite, ni de gauche essentiellement centrée sur les préoccupations de nos concitoyens. Si les électeurs ne font plus confiance ni aux uns, ni aux autres, c’est qu’ils ont été beaucoup trompés et qu’ils ne souhaitent plus l’être. A la grande différence de monsieur Pujol, le programme que nous mettrons en place à Perpignan sera tenu et dans les cas où beaucoup d’argent public sera engagé, les perpignanais seront consultés ! Le système Alduy que défend aujourd’hui monsieur Pujol doit être démantelé. Rigueur, transparence, démocratie seront les marqueurs de notre boussole municipale.

« Son programme ne peut conduire Perpignan et la France qu’à leur perte, mais il signale de vrais problèmes de société que les partis de gouvernement n’ont pas été capables de régler. »

La France est dans quel état ? Perpignan est dans quel état ? Comment un ancien 1er adjoint de Pujol, mis en place par Alduy et qui revendique cette proximité, peut-il être à ce point amnésique ? Notre ville est endettée, défigurée, instable, communautarisée, insécuritaire, pauvre. Notre ville est clientélisée, la démocratie réduite à sa plus simple expression et le règne du copinage visible à tous les étages. Comment le maire UMP-UDI peut-il encore donner des leçons ? Je crois sincèrement que dans sa tour d’ivoire, il est coupé des préoccupations populaires et qu’habitué au ronronnement en vase clos, il n’a pas pris la mesure des attentes de nos concitoyens.

Dès lors que la seule réponse donnée au Front National est l’anathème ou la stigmatisation, des personnes qui ne sont pas du tout FN croient entendre une solution à leurs préoccupations.

Anathème ? Stigmatisation ? De qui parle-t-il ? De Chirac et de ses odeurs ? De son ami Copé et de ses pains au chocolat ? L’anathème et la stigmatisation, ce sont nos compatriotes qui le vivent tous les jours dans la rue et qui sont abandonnés par les pouvoirs publics. De la bouche du maire, la sécurité relève de la Police nationale et c’est la faute à la « société » si la situation empire. Et bien nous ne pensons pas cela ; nous pensons que le maire dans sa commune a le devoir de contribuer au rétablissement de la sécurité par l’embauche de policiers supplémentaires et la réorganisation de celle-ci de jour comme de nuit, par une aide plus visible aux victimes et par une détermination sans faille. Ce n’est pas d’un maire mou dont nous avons besoin, mais d’un maire engagé et déterminé qui fera de la sécurité sa priorité n°1.

« Nous, les partis républicains, avons abandonné une partie de la population sur ces trois fondamentaux. »

Nous les « partis républicains » ? l’UMP, le PS, les Verts et les communistes ! Voilà  le système dans lequel se retrouve monsieur Pujol ! Mais en quoi serions nous moins républicains que vous monsieur le maire ? Est-ce nous qui avons transformé perpignan en système clientéliste et communautaire, contraire aux valeurs de laïcité et d’égalité des citoyens ? Est-ce nous qui gérons un certain nombre d’associations et de quartiers, voire d’embauches sur des critères ethniques ou religieux ? Que penser de fichiers existants à la mairie qui recensent les employés selon leurs origines ? Voilà où se trouve l’antirépublicanisme ! Voila quelle est la nature de votre république ! La notre est inscrite en toute lettre dans l’article 1– al1 de notre constitution : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. »

« Du reste, je connais de près la situation de Toulon après le passage du FN à la mairie, de 1996 à 2001 : ce parti qui nous voit comme un laboratoire a géré Toulon de façon catastrophique… »

Et bien parlons de Toulon, puisqu’elle fut gérée par l’un de vos anciens amis politique Maurice Arreckx, membre de l’UDF comme vous (le PR appartenait à l’UDF), surnommé « le parrain ». Ce grand « honnête homme », puisque c’est sur ce terrain que le maire de perpignan se place, a été reconnu coupable d’avoir reçu un pot de vin d’un million de francs et incarcéré aux Beaumettes en août 1994, il est en 1997 à nouveau condamné coupable d’avoir reçu quelque 2 millions de francs d’une filiale de la Générale des eaux contre l’attribution du chantier de la Maison des technologies de Toulon. Maurice Arreckx avait régné 35 ans sur Toulon avec des résultats catastrophiques !

Je ne voudrai pas réveiller de vieux fantômes locaux, mais faut-il que nous évoquions les condamnations du député UDF-PR Farran ?

La vérité sur Toulon est toute autre. Pendant la mandature 1995-2001 du Front National :

– L’endettement de la ville a été réduit de 27%, passant de 290 ME à 213 ME, alors qu’il avait augmenté de 69% sous la mandature précédente. C’est donc le FN qui a initialisé le désendettement de la ville. On peut noter d’ailleurs qu’en 2001 cet endettement était de 1146 Euros par habitant, soit inférieur à Nice (1228 E) et Marseille (1972 E) !

– Les taux communaux des impôts locaux à charge des ménages avaient baissé de 6% , ce qui a eu pour résultat une stabilité en valeur des impôts locaux qui avaient augmenté de 58% de 1988 à 1995.Cette modération fiscale instaurée par le FN de 1995 à 2001 a été suivie par une nouvelle hausse de 51% depuis l’arrivée de l’UMP M.Falco…

Malgré une politique d’économies et la suppression des subventions du Département et de la Région, de nombreuses réalisations ont vu le jour ou ont été lancées : Le Musée des arts asiatiques, Le Musée de la figurine, L’Ecole Saint –Louis, le théâtre Poquelin, Le Palais de la liberté, la Mairie annexe du Pont du Las, le Centre de loisirs du vallon du soleil. Une grande partie du tunnel Est/Ouest de Toulon a été a réalisée sous la municipalité FN et payé par la commune à hauteur de l’équivalent de 43 millions d’euros. Et, selon le rapport de la Chambre régionale des comptes de 2006 qui couvre la période, il n’y a eu aucune irrégularité de gestion, contrairement à ce que certains voudraient faire croire.

« Pour moi, la digue, ce sont les valeurs. Je suis le fils d’un courtier en vins qui s’est battu contre les nazis, avant de revenir à 22 ans, Grand Invalide de Guerre. Je veux parler des valeurs de tolérance, de respect de l’autre et de vérité. Or, le FN ment sur ces trois valeurs. »

Le maire nous vante ses origines et c’est tout à son honneur. Mais en quoi le FN ne respecte t-il pas ces valeurs ? A-t-il oublié qu’à Perpignan l’un de nos premiers leaders a été Pierre Sergent (dont la veuve Chouky est présente dans mon comité de soutien), officier de Légion, et résistant dans le maquis de Sologne avec le corps franc Liberté. Nous attendons d’ailleurs toujours une réponse à notre question sur une rue Pierre Sergent à Perpignan ?

Je tiens par ailleurs à sa disposition la liste de tous ceux qui de Georges Bidault au compagnon de la Libération Camaret se sont engagés contre le nazisme (http://enavantperpignan.com/2013/10/09/aujourdhui-comme-hier-la-resistance-cest-le-front-national/).

Tolérance, respect et vérité ? Qu’il se déplace dans certains quartiers de Perpignan et il verra ce que sont aujourd’hui la réalité de ces valeurs ! Insultes, violences, intimidations, haine de la France sont le lot de nos concitoyens !

Sur la Sécurité !

C’est le grand échec du couple Alduy-Pujol ! Tout comme la propreté d’ailleurs, ou sa seule réponse est la création d’une brigade féminine ( ?!)… Il constate la situation désastreuse en pointant son impuissance et en faisant reporter sur d’autres ses propres responsabilités.

Il s’en défausse en disant « Au fond, cette problématique est celle de la France d’aujourd’hui »…et constate « il faut avouer que les problèmes de sécurité sont mal traités par les gouvernements de droite ou de gauche, car la sécurité publique, je dis bien publique, devrait être la compétence du maire. » C’est donc bien sa responsabilité qui est engagée en tant que soutien du précédent gouvernement et en tant que maire actuel. Sa proposition de mettre les forces de police sous l’autorité du maire est contraire à notre tradition républicaine. Et remettre les clefs de la sécurité à une équipe qui n’est déjà pas capable de gérer notre quotidien serait désastreux !

Sur son soutien indéfectible à la politique Alduy !

Dixit le maire « Les grands équipements ont été construits à Perpignan, avec ma contribution du temps des mandats de Jean-Paul Alduy, moi-même en tant que chargé de l’Urbanisme et des Finances ». Pujol assume tout et même soutien l’ensemble ! Il ne prend pas ses distances et défend le Théâtre de l’Archipel, la gare TGV sans TGV et même la vision fantasmagorique de l’eldorado barcelonais ! N’était-ce d’ailleurs pas monsieur Pujol qui considère que l’aéroport naturel de Perpignan est…Gérone !!!

Nous étions habitué aux saillies de l’homme le plus à gauche du département et à son humanisme planétaire, serons-nous obligés de subir le mondialisme convaincu de monsieur Pujol qui pense que l’avenir de perpignan passe par Barcelone au mépris des évidences historiques et économiques. Nous reviendrons sur l’économie locale, l’un des grands enjeux de l’élection municipale…


Jacques Cresta va donc lancer sa campagne à Perpignan avec tous les parlementaires socialistes et ses alliés communistes

Communiqué de la liste Perpignan Ensemble avec Louis Aliot

Jacques Cresta va donc lancer sa campagne à Perpignan avec tous les parlementaires socialistes et ses alliés communistes (hors Front de Gauche).

Il en profitera aussi pour endosser la popularité de Hollande et Ayrault (la plus basse de tous les exécutifs sous la Vème république), ainsi que pour assumer devant les perpignanais leur bilan désastreux au bout d’à peine plus d’un an de mandat. Les Français semblent vaccinés de la gauche au niveau national, je ne doute pas que les perpignanais en fassent de même.

vivement demainReste ce slogan assez énigmatique qui tout de suite nous fait penser à celui de Jacques Chirac en 1985-86 (en pièce jointe).

Mais au delà de l’anecdote, et personne ne le contestera, le meilleur slogan pour Pujol comme pour Cresta restera : «vivement demain que tout soit comme hier ! »

 vivement-demain-comme-hier1


Honte aux alliés du parti socialiste ! Honte à madame Joly

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, candidat tête de la liste «Perpignan Ensemble» lors des élections municipales à Perpignan en 2014

Le mercredi 16 octobre, invitée sur une chaîne d’informations au sujet de l’affaire Léonarda et de la problématique plus générale des Roms, , la candidate EELV à l’élection présidentielle a déclaré : « la France pourrait, si elle le voulait, intégrer quelques milliers de Roms, puisqu’elle a intégré un million de Pieds-noirs » !

Par ces déclarations cette alliée du Parti socialiste, membre de la majorité gouvernementale, a insulté des millions de Français de toutes origines et de toutes confessions en pratiquant un amalgame douteux !

Est-ce par méconnaissance historique ou par mépris idéologique ? Très certainement un peu des deux tant il est vrai que dans cet épisode historique, la gauche a été une alliée des adversaires de la France et un fidèle soutien aux bourreaux du FLN.

Les « rapatriés » étaient de nationalité française et ont été, n’en déplaise à madame Joly comme à certains amnésiques, l’une des principales composantes de la libération de la France en 1944 avec l’Armée d’Afrique.

Trahis et abandonnés par le gouvernement gaulliste, ils ont quitté leur terre contraints et forcés, pour regagner la mère patrie dans des conditions d’accueil déplorable même si de nombreux métropolitains furent sensibles à leur désarroi. Sans parler des conditions de regroupement des harkis parqués dans des camps et méprisés par la bien-pensance de l’époque et dont le génocide n’a toujours pas été reconnu !

Comment cette donneuse de leçons peut-elle faire un parallèle entre l’immigration sauvage que connaît aujourd’hui la France et l’Europe, avec le drame bien français de l’exode de 1962 ?

Il est bien malheureux d’entendre, plus de cinquante ans après, une représentante de la coalition gouvernementale de gauche tenir de tels propos dans une indifférence générale.

Nous condamnons ces propos misérables et demandons au Premier ministre, toujours prompt à s’indigner d’un rien, qu’il demande à Madame Joly de présenter ses excuses.


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Saint-Jacques, priorité municipale !

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, candidat tête de la liste «Perpignan Ensemble» lors des élections municipales à Perpignan en 2014

Un mur mitoyen des immeubles situés dans le quartier Saint-Jacques s’est brusquement écroulé a-t-on appris ce jour, apparemment affaibli par une fuite d’eau importante. Quatorze personnes ont été évacuées puis relogées.

A partir de combien d’accidents de ce genre va-t-on enfin s’occuper des problèmes réels de ce quartier. C’est ça, le bilan de l’alduysme municipal dont Jean-François Copé est venu dresser des louanges ? Rien ne sert donc jamais de leçon dans ce petit monde de la Loge ou l’histoire se répète sans fin depuis des années. Le même jour, une enseignante se fait agresser dans un collège ! Tout un symbole de l’échec d’une politique tant municipale que nationale, tant socialiste qu’umpiste…

Déjà en février 2009, l’effondrement d’un immeuble dans le quartier Saint-Mathieu de Perpignan avait occasionné la mort d‘un homme de 79 ans. Il s’agissait du troisième immeuble effondré en centre-ville depuis 2006.

Il est bien évident que la Mairie en porte la responsabilité solidairement avec les socialistes du Conseil Général car ce quartier commence à devenir célèbre pour ses malheurs alors qu’il pourrait en être autrement.
Entre les émeutes, l’insalubrité, les trafics divers et variés et des populations qui souffrent, il serait temps de s’en préoccuper.

La réhabilitation de Saint-Jacques sera une priorité municipale de notre politique tant il est vrai qu’il cumule en son sein tout ce que les perpignanais ne souhaitent plus voir ou subir ! Réussir le Saint-Jacques de demain c’est démontrer que Perpignan a de la ressource pour dynamiser, sécuriser et rendre la vie de nos concitoyens plus agréable. Réussir Saint-Jacques, c’est aussi positiver l’image de Perpignan !


Réponse aux attaques personnelles de la girouette Grau

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, candidat tête de la liste «Perpignan Ensemble» lors des élections municipales à Perpignan en 2014

 » Mon confrère parisien, énarque de formation, installé à Perpignan depuis un an, ose tout, c’est à ça qu’on le reconnaît.

Dois-je rappeler que Romain Grau a été attaché parlementaire du député socialiste Henri Sicre, puis du député socialiste Jean Codognès, qu’il a été repêché par l’héritier centriste Alduy(UDI) et qu’il frappe maintenant à la porte de l’UMP Jean-Marc Pujol… tout en continuant de le critiquer…Carriériste, vous avez dit carriériste !?…

Vice-président de l’Agglo et adjoint à la mairie, monsieur le haut fonctionnaire parle beaucoup, de tout, mais est incapable de régler le moindre problème à Perpignan. Le dernier machin créé, la fameuse Agence de développement économique (l’ADE) , est une coquille vide sans projet, sans logique et donc sans avenir.

Les Perpignanais qui me voient très souvent apprécieront sa suffisance et sa légèreté dans les attaques personnelles. En ce qui concerne mes passages médiatiques, heureusement que je suis là pour faire émerger un peu Perpignan dans l’actualité nationale sur des idées, parce que ses amis auront contribué à donner de Perpignan l’image d’une cité violente marquée par les conflits ethniques, les émeutes de 2005 et par l’affaire des chaussettes, sans compter le chômage et la misère. Triste bilan…

J’ai une autre ambition pour Perpignan tant en matière de développement économique qu’en matière de tranquillité publique « .


Cresta tente de gommer son étiquette PS

Le député Cresta appartient-il toujours à la majorité socialiste ?

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National, candidat tête de la liste «Perpignan Ensemble» lors des élections municipales à Perpignan en 2014

On peut se le demander tant il oublie de parler de l’état dans lequel le gouvernement PS et François Hollande sont en train de plonger la France. Avec une impopularité jamais atteinte par un président et un gouvernement sous la Veme république, il ne pourra échapper à ses responsabilités nationales pas plus qu’il n’échappera au bilan du conseil général et de la région.

La faillite est totale ! Le clientélisme est à son comble et l’absence de solutions patent. Les français ne veulent plus de ce système et sauront le rappeler aux parlementaires de notre département. Comment feraient-il demain à Perpignan ce qu’ils ne font pas fait au gouvernement, au département et à la région aujourd’hui ? Les perpignanais ne sont dupes de rien !


La négation des chiffres, ou de vieux mythes ressuscités, par l’idéologie dominante de la pensée unique

Communiqué de Bruno Lemaire, professeur émérite HEC, co-listier de « Perpignan Ensemble avec Louis Aliot »

Dans l’Indépendant, rubrique Perpignan, une journaliste a tenté récemment de répondre à une question qui semble l’angoisser : Perpignan va-t-il passer au FN ?

Vu l’évolution de la ville mise en coupe réglée par le même clan depuis plus de 40 ans, la journaliste pourrait au moins s’interroger sur l’éventuel intérêt, pour les perpignanais, de cette éventuelle nouvelle gouvernance.

Que nenni. Bien loin d’essayer d’anticiper l’avenir, en partant du présent, peu glorieux pour le clan sus-indiqué, celui qui a préféré porter à la tête de l’agglo PMCA son héritier en mettant à la tête de la ville son ancien adjoint – cela ne sort presque pas de la famille – notre journaliste a préféré s’appuyer sur un mythe, cousu de mensonges, mais répété depuis si longtemps qu’il en paraît être une vérité.

Ce mythe est celui de la gestion prétendument calamiteuse des maires ‘patriotes’, comme à Vitrolles, à Toulon, à Marignane ou encore à Orange.

Pour Vitrolles, dont le maire, puis la maire, ont voulu tenter une mesure illégale – et donc justement condamnée – accordant des allocations supplémentaires aux familles françaises – en 5 ans de gestion, le taux d’endettement avait diminué de plus de 15%. La municipalité actuelle de Perpignan aurait pu s’en inspirer.

Pour Toulon, ville surendettée en 1995, là encore le taux d’endettement a diminué pendant 5 ans, d’environ 8%. Si son maire a été condamné par la suite, ce n’est donc pas pour sa mauvaise gestion budgétaire ou financière, mais c’est parce que ses pratiques, plus que douteuses, avaient scandalisé – à juste titre – certains de ses conseillers municipaux ou adjoints, eux-mêmes du Front National.

Autre cas, encore plus intéressant, celui d’Orange, dirigé depuis près de 20 ans par un maire patriote, même s’il n’est plus au F.N. En 18 ans, la dette par habitant a été divisée par 20, en passant de 1462€ à moins de 80€. Rappelons que, à Perpignan, la dette par habitant dépasse 1900 €.

Puisque les medias s’intéressent au passé, le plus souvent en le réécrivant mensongèrement, on pourrait aussi s’intéresser à des villes, de droite comme de gauche, mises sous tutelle préfectorale, ou sous surveillance financière, comme Beauchamp (Val d’Oise) en 2013, Noisy Le Sec (Seine St-Denis) en 2010, Pont St Esprit (Gard) en 2008, et la liste serait encore longue.

Alors, oui, quitte à faire référence au passé – ce qui n’a qu’un intérêt limité – il vaudrait mieux ne pas répéter à satiété des contre-vérités qui ne grandissent ni leurs auteurs, ni leurs propagateurs. C’est du moins ce que l’on pourrait attendre d’un journaliste d’information, même engagé. Laissons donc choisir les perpignanais entre vérité et mensonges, et regardons l’avenir, qui ne peut qu’être sombre si l’équipe actuelle reste à la tête de Perpignan.