Perpignan Ensemble avec Louis Aliot !


Le savoir-faire catalan en sursis à Thuir?

Fesenbeck  Savoir-faire catalan à Thuir en sursis ?

par  Marie-Thérèse COSTA-FESENBECK, Conseillère régionale, Conseillère municipale et Communautaire de la liste « Perpignan Ensemble avec Louis Aliot »

Le groupe Pernod-Ricard nous annonce qu’il ne licenciera pas à Thuir et épargnera la filiale Cusenier qui fabrique le fameux « Byrrh ».

Nous en sommes bien aise car le « Byrrh » est dans tout esprit catalan. Qui n’a rêvé, étant enfant, de tremper ses lèvres pour goutter cette potion magique réservée à nos parents et grands-parents ? Après avoir obtenu la permission, sous le regard de notre maman, nous osions nous délecter de ces quelques gouttes de breuvage délicieux.

Il nous faut garder les caves Byrrh, améliorer encore et toujours l’attraction de notre célèbre cuve, la plus haute de France par une communication adéquate. Il faut apprendre (naturellement en quantité limitée, cela va de soi) et ré-apprendre au consommateur à boire du « bon ». Le « Byrrh » est concurrencé par le « Porto » moins cher mais de médiocre qualité, du moins celui que l’on vend en France dans les super-marchés !

Ce sera difficile mais le catalan sait faire même si les temps ont changé. De nos jours, les citoyens boivent des liquides insipides, nocifs pour leur santé. On ne parle que de productivité, finances, rapport avec l’argent !

Mais quelle place donnons-nous à l’être humain ? Aucun, il est devenu une machine parmi toutes les machines et techniques du XXI° siècle.

Combien de viticulteurs et d’exploitations viticoles ont disparu sur notre département ? Il ne reste plus grand-chose, et ce, grâce à nos gouvernants inféodés à l’UE et Bruxelles ! Les politiciens UMPS des Pyrénées-Orientales ne savent que courber l’échine. Il faut que les choses changent, les citoyens le disent maintenant haut et fort. Ce ne sera que grâce à un changement radical de politique : la sortie de l’Europe actuelle pour construire une autre Europe, celle des Nations.

Il n’y a que Marine Le Pen, capitaine prête et capable d’organiser ce changement !


Mensonge ou incompétence de l’équipe municipale de Perpignan.

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La mairie UMP-UDI-PS est-elle incompétente ou bien ment-elle ?

par Maître Louis Aliot, député français au parlement européen, vice-président du Front National, tête de liste du groupe « Perpignan ensemble rassemblement bleu marine »

Dans le quotidien local, Monsieur Pujol revient sur la polémique qui entoure le trop célèbre « carré d’Or » qui, selon lui, est le cadet des soucis des commerçants du centre-ville ! Ils apprécieront !

Mais surtout, Monsieur Pujol déclare « Ce n’est pas une prorogation du permis de construire mais une modification accessoire du permis de construire ». Il doit avoir oublié que le document qu’il a personnellement signé le 16 juillet 2014 s’intitule « prorogation du permis de construire ». Ce document dit « La validité du permis de construire est « PROROGEE [en maj dans le texte] pour une durée d’une année ».

La signature de Monsieur Pujol aurait-elle été imitée par ses services ?

Tout le monde sait que si les travaux se terminent, le maire n’aura pas les moyens de faire respecter l’interdiction d’implanter des commerces autres que ceux prévus dans les autorisations actuelles. Monsieur Pujol fera-t-il fermer un centre commercial neuf parce qu’il n’y a pas assez de magasins consacrés à l’habitat ? Cessons d’être hypocrites et de dévaloriser la parole des politiques ! Nous savons tous que les commerces d’ameublement seront minoritaires dans ce projet. Les documents que diffuse le promoteur sont parlants.

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La position de Jean-Marc Pujol sur ce dossier est intenable et incompréhensible ! Quel intérêt a-t-il à défendre un centre commercial qui n’enrichira que le groupe Mulliez déjà propriétaire du groupe Auchan et qui désertifiera encore un peu plus le centre-ville ? Le rôle de la municipalité, c’est de défendre les Perpignanais, pas d’enrichir ceux qui le sont déjà beaucoup.


La réforme des régions, une FAUTE inexcusable

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par Jean-Claude PINGET, et Marie-Thérèse FESENBECK, Front National

La réforme des régions, pire qu’un manque à l’éthique politique, pire qu’une escroquerie électorale, une FAUTE !

Dire que les socialistes sont aux abois est une gentille litote car après les défaites cinglantes des municipales et des européennes, ils ne pouvaient subir dans un laps de temps rapproché (mars 2015) une troisième Berezina qui, avec la loi électorale actuelle, les aurait éliminés dans quasiment toutes les régions.

Hollande, disciple du florentin Mitterrand, devait gagner du temps et pour ce faire, il lui fallait un motif. Ce fut dans l’improvisation la plus totale, la réforme des régions ; un sujet que quelques germanophiles de l’UMP, adorateurs des « gross régions » teutonnes avaient abordé en laudateurs de « Frau Merkel », n’y voyant que les rares bénéfices et jamais les surcoûts.

Ainsi donc Hollande voulut reporter d’un an ces régionales et les cantonales au système électoral aussi farfelu qu’ingérable ; las un vent venant du conseil constitutionnel lui souffla « 6 mois maxi ». Alors, en dehors de toute consultation d’experts économiques, sans avis des maires, des conseillers généraux, des hiérarques du PS, les éléphants élyséens trompèrent énormément et gribouillèrent une réforme des régions que le prince n’envisagea même pas de soumettre aux élus locaux, pas plus qu’aux populations concernées !

En ce qui nous concerne, nous Languedoc-Roussillon, F. Hollande ne s’est pas rendu compte :

– que nous étions une région maritime ; de l’importance de la pêche, du nautisme, des transports, et bien sûr du tourisme !

Midi-Pyrénées, à part le canal du midi déboisé… est un monde continental et triste, tournant autour d’une seule ville.

– que nous étions une grande région arboricole et maraîchère, loin de l’agriculture intensive et de l’élevage de Midi-Pyrénées.

– que nos économies étaient axées sur les échanges transfrontaliers Sud-Nord et Est, dont le fleuron, le grand marché Saint-Charles, en bordure de l’autoroute qui va de Malaga vers Oslo, Berlin ou le grand Est.

– que le Roussillon, les Costières de Nîmes, les Corbières, le Biterrois faisaient des efforts et de lourds investissements pour produire un vin de qualité, consacré par les œnophiles, comme Robert Parker, alors que sur Midi-Pyrénées, il faut aller loin vers le Bordelais pour retrouver une qualité équivalente consacrée par les guides internationaux.

Homme de peu de culture, il ne s’est même pas rendu compte qu’historiquement les liens entre les 2 régions avaient été faibles, le Languedoc-Roussillon étant tourné vers la mer, en épousant les contours de l’antique via Domitia ; Midi-Pyrénées est tournée, elle, vers l’Aquitaine au fil de la Garonne. Découlant de ce fait, hors une autoroute, les voies de communication sont moyenâgeuses.

Ajouterons-nous, comme clou au cercueil de François Hollande, qu’il y a de la limite du Gard à celle de l’Aquitaine, près de SIX CENT KMS.

Cette fusion va à l’encontre de l’histoire, de la géographie, de l’économie et du bon sens.

Elle n’est que l’œuvre insane d’un quarteron de politiciens faisant fi de toute morale, tentant de sauver leurs prébendes par une escroquerie aux institutions.

Jean-Claude PINGET

Docteur en droit, Conseiller municipal et d’agglomération de Perpignan,
Flamme de bronze du Front National

&

Marie-Thérèse COSTA-FESENBECK

Secrétaire départementale du FN66, Conseillère régionale du Languedoc-Roussillon,
Conseillère municipale et d’agglomération de Perpignan,
Membre élue du Comité Central, Flamme de bronze du Front National


Louis Aliot s’exprime sur la prolongation du permis de construire du « Carré d’Or »

lu dans l’OuilladeCarreOrGrandeSurface

« Manifestation des commerçants contre le Carré d’Or au lieu-dit Château Roussillon :  Louis Aliot apporte des éléments sur la prolongation du permis de construire délivrée par le maire Jean Marc Pujol.

Le député européen Louis Aliot et chef de file de l’opposition au conseil municipal de Perpignan était présent hier matin à Château Roussillon lors du rassemblement contre le projet du complexe commercial « Le carré d’or ».

À cette occasion, il a pu apporter la preuve de la prolongation du permis de construire accordée par le Maire de Perpignan: un courrier de Jean Marc Pujol à l’attention du promoteur concerné, daté du 16 juillet 2014, et qui autorise la poursuite du projet de près de 20 000 m2 de surface commerciale à moins de 10 min du centre ville.

« Le maire doit être mis face à ses promesses de campagne, à savoir le gel de toutes extensions des surfaces commerciales en périphérie nuisant directement à l’activité du centre historique ».

Le nouveau député européen s’est dit prêt à faire un recours en annulation de cette prolongation du permis auprès du Tribunal administratif si la procédure réglementaire n’avait pas été respectée.

« Au delà d’une éventuelle procédure, il convient de condamner la responsabilité morale du maire Jean Marc Pujol qui renie ses engagements de campagne et la charte de L’Olivier signée en mars dernier par son adjoint en charge du commerce, Stéphane Ruel, alors colistier.

La création de cette nouvelle zone périphérique portera un coup fatal au cœur de ville de Perpignan, comme ce fut le cas dans la commune de Béziers suite à l’ouverture d’un Polygone aux portes de la ville… »

Dix nouvelles fermetures de commerces en centre ville ont été annoncées ce matin par le journal local ».


Les « solutions » archaiques de l’incontournable Attali.

Les solutions archaïques du gourou Attali

Par Bruno Lemaire, secrétaire général du Club Idées Nation, conseiller municipal et communautaire de Perpignan sur la liste « Perpignan Ensemble Rassemblement bleu marine »

Jacques Attali, tout en aimant bien enfoncer les portes ouvertes d’un air inspiré : oui la « croissance » française est à zéro, oui les déficits publics vont être plus proches de 5 % que de 3, oui l’argent « dort » dans les coffres ou les tiroirs a livré ce matin, à un journaliste ébahi, ou esbaudi, ses recettes immédiates de sortie de crise. En un mois, on pourrait sauver Hollande, sauver le PS, sauver la France, et pourquoi pas, sauver le monde…

A la base de tout cela, un seul fil rouge : chercher l’argent dans le bas de laine des éventuels droits de succession. Ce n’est plus avec les dents qu’Attali, après Sarkozy, veut aller chercher l’argent de la croissance, c’est avec des déductions fiscales pour ces pauvres héritiers. Vous avez dit « socialisme »?

Une seule solution, de simple bon sens, « préférer la production et l’action à l’argent et à la spéculation ». Mais cela, ce n’est pas un apparatchik du système qui peut le suggérer.

Pour notre gourou, puisque l’argent ne sort pas – la (pas si) fameuse trappe à liquidités de Keynes – faisons le sortir en supprimant les droits de succession pour tous les investissements, dans la pierre ou l’acier, dans l’immobilier ou les machines-outil, qui seraient réalisés les deux prochaines années.
Et puis, pour couronner le tout, car il fallait bien que Attali, le mondialiste, fasse un peu référence à l’Europe, pourquoi ne pas relancer des grands travaux européens, histoire de faire payer un peu l’Allemagne, qui ne semble pas vraiment décidée à utiliser un peu de ses excédents commerciaux colossaux pour aider sa voisine d’outre-Rhin.

Voilà comment, à partir d’un diagnostic exact, mais que chacun peut faire aussi, à savoir que la France va de plus en plus mal, en dépit de toutes les promesses de François Hollande et de son manuel d’économie, et de Manuel Valls, le ci-devant gourou de François Mitterrand en revient à des recettes éculées, qui n’ont jamais marché et, qui, de plus, semblent à la fois fort peu sociales et socialistes : privilégier l’argent transmis à l’argent gagné, privilégier la rente à l’action.

Non, la seule solution pour que l’argent circule vers l’économie réelle, est de pénaliser la spéculation, de faire en sorte qu’un argent qui dort ne soit pas préféré à un argent utile, qui circule et qui favorise les échanges. Il ne s’agit pas non plus, autre variante aux « recettes » d’Attali, d’injecter de plus en plus de monnaie ou d’avoir un taux d’intérêt proche de zéro, voire négatif, comme a tenté de le faire le directeur – non élu lui non plus – de la BCE.

Non, ce qu’il faut faire, c’est qu’il soit plus avantageux de vendre biens et services que d’attendre des jours meilleurs, et, surtout, qu’il soit plus intéressant d’acheter des marchandises que de stocker son argent au fond d’un coffre-fort ou de spéculer sur les variations de tel ou telle action, de telle ou telle matière première, de telle ou telle monnaie. Tant que les échanges financiers représenteront de 50 à 60 fois les véritables échanges, les ‘solutions’ à la Attali-Braghi n’ont aucune chance de fonctionner.

La suite de l’intervention de Jacques Attali est du même tabac, si l’on peut dire : sa crainte d’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen est tellement pathétique qu’il en va jusqu’à nier ce que la plupart des experts ‘indépendants’ – il en existe encore – disent depuis des mois et des mois, à savoir que si la France ne sort pas de l’Euro, son économie est condamnée, à plus ou moins brève échéance.


La sécurité à Argelès en mode minimal.

FesenbeckCommuniqué de presse de Marie-Thérèse COSTA-FESENBECK,

Conseillère régionale FN, Conseillère municipale FN et communautaire FN de la liste « Perpignan ensemble de Louis ALIOT »

Triste constatation de voir une fois de plus l’insécurité qui règne sur le sol de notre territoire.

En effet, les trafics en tous genres, particulièrement de cannabis et autres produits illicites, font florès. Mais devant les gardiens de notre sécurité, là cela dépasse l’entendement.

L’article de l’Indépendant de ce jour confirme, en sous-entendu, que les policiers municipaux et les gendarmes ont reçu des ordres pour « surveiller » ce trafic. Intervenir est autre chose ! Surtout pas de vagues ! Il ne faut pas déranger ces petits malfrats qui ne respectent pas l’uniforme, qui le narguent et le provoquent.

Nous avons quantité de lois. Alors pourquoi ne pas les faire appliquer ? Vous, les maires UMPS, vous croyez donc que le laxisme arrangera tout. Mais pas du tout ! Vous vous trouvez maintenant devant une spirale infernale d’insécurité et vous semblez heureux que le citoyen lambda ne réagisse pas et se sauve à la nuit tombée pour ne pas être mêlé à une rixe éventuelle.

Voilà aujourd’hui la « douceur » de notre pays par votre faute !

Lors des prochaines échéances électorales, il se trouvera enfin des élus politiques courageux qui, eux, prendront en main la sécurité de leurs citoyens pour qu’ils retrouvent  la tranquillité.


PMCA et Accueil des gens du voyage.

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 Communiqué de Catherine Pujol, Conseillère Communautaire, Conseillère Municipale, Liste « Perpignan Ensemble Rassemblement bleu marine».

L’Etat, « socialiste », demande de créer encore une centaine de places d’accueil de gens du voyage sur le territoire de la communauté d’agglomérations Perpignan Méditerranée dont la majorité UMP crie au scandale.

Au risque de mettre d’accord Messieurs Vila, Jean et Robert, il suffit d’observer effectivement le chemin parcouru à ce jour, en relisant le rapport du Préfet de Région du 21 juin 2013, concernant la mise en œuvre du schéma départemental d’accueil des gens du voyage et son avancement à cette date.
A la lecture de la synthèse, point 4-6, les Pyrénées Orientales ont réalisé 54% d’aires d’accueil et 75 % d’aires de « grand passage » supplémentaires, ce qui classe notre département deuxième du Languedoc-Roussillon après l’Aude dans la réalisation et donc « bons élèves ».

Bien entendu Monsieur Jean Vila que les gens du voyage ne demandent pas « des campings 5 étoiles », mais bien entendu Monsieur Robert Vila que « ces aménagements coûtent excessivement chers »…aux contribuables ne l’oublions pas.
Bien trop souvent, ces voyageurs aiment à se poser… où bon leur semble, faire… comme bon leur semble, c’est-à-dire vivre selon leurs coutumes trop souvent irrespectueuses de nos règles et lois. Il suffit d’arrêter de nous voiler la face, il suffit d’ouvrir nos yeux, d’oser observer en nous promenant, d’oser dénoncer à haute voix cette triste vérité.

Alors, la médaille d’argent des Pyrénées Orientales de notre région devrait vous mettre d’accord, Messieurs Vila Jean et Robert, le département est bien doté en emplacements d’accueil des gens du voyage.


PERPIGNAN, une ville qui souffre !

A PERPIGNAN les jours se suivent et se ressemblent : PERPIGNAN, une ville qui souffre !

communiqué de Clotilde FONT, Conseillère Municipale  et Conseillère communautaire de la liste « Perpignan ensemble Rassemblement bleu marine »

Chaque jour le journal local apporte son lot de désillusions.

–          Hier, nous apprenions  le « caillassage » de l’église St Paul du Moulin à Vent par des sauvageons ainsi que le déplacement du centre de loisirs du quartier des Baléares pour cause l’agression des encadrantes  qui avaient oser porter des shorts !…

–          Aujourd’hui, la fermeture de la boutique H&M de la place Jean Jaurès, au centre-ville, et la suppression de 42 postes pour EAS Industries.

Les enseignes Perpignanaises disparaissent les unes après les autres

Beaucoup  d’autres sont en situation délicate.

Combien de temps encore allons-nous subir avec fatalité les attaques  des centres commerciaux sans réagir ?

Malgré notre bonne volonté, nous avons beaucoup de mal à croire que la marque H&M tire le rideau afin de s’installer dans une surface plus vaste.

Nous restons sceptiques et refusons d’adhérer à de tels arguments.

La clause de « confidentialité »  évoquée par la municipalité est un leurre uniquement destiné à masquer la triste vérité.

La réalité est plus cruelle : Encore un rideau qui se baisse !

A n’en pas douter, le centre-ville de Perpignan ne tardera pas à ressembler à une ville fantôme.

Il y a quelques semaines, nous apprenions les difficultés d’EAS Industrie, incapable de faire face à ses dettes qui ne sont que le reflet de la situation de bon nombre d’entreprises  locales victimes  de la situation économique désastreuse et d’une gestion calamiteuse de notre ville et de notre département.

EAS est juste plus spectaculaire par sa taille et son impact.

Après avoir craint de retrouver 270 personnes sur le marché de l’emploi, tout le monde semble soulagé de constater que « seulement » 42 personnes se retrouvent sur le carreau.

Les 42 personnes licenciées auront, elles, beaucoup de mal à avoir une vision aussi optimiste de l’évolution de ce dossier.

Il est  grand temps que la coûteuse Agence de Développement  Economique prenne le taureau par les cornes et remplisse enfin son rôle de sauvegarde et de soutien à l’entreprise locale.